Je vais te donner les 3 trucs pour éviter la transmission des infections sexuellement transmissibles ou IST
1er truc : Le préservatif (féminin ou masculin)
Il n’y a pas que lors des pénétrations vaginales ou anales qu’il y a un risque de transmission d’infection (IST), cela fonctionne aussi dans le cas de rapports buco génitaux.
Pour la fellation : il faut utiliser un préservatif masculin.
Pour un cunnilingus : il faut faire une digue dentaire mais, qu’est-ce que la digue dentaire ? Il faut prendre un préservatif, couper son réservoir puis, couper le bas aussi enfin, il faut couper tout le long du préservatif pour obtenir un carré. Vous pourrez l’apposer sur l’appareil génital féminin et ainsi éviter de transmettre des IST.
Mais où trouver des préservatifs me direz-vous ? Actuellement, si vous avez moins de 26 ans, vous pourrez aller en pharmacie sans ordonnance et gratuitement obtenir des préservatifs masculins ou féminins. Depuis fin mars 2025, pour celles et ceux qui sont allergiques au latex, vous pouvez aussi en obtenir sans.
2ème truc : Le dépistage
Le 2ème ça va être le dépistage des IST. Cela consiste en une prise de sang ou un prélèvement de jet d’urine ou 1 auto prélèvement sur ton appareil génital. Il suffit d’aller dans un laboratoire en ville, avec le dispositif mon test IST, tu peux avoir ce dépistage gratuitement. Sans ordonnance et pour les moins de 26 ans. Si vous êtes mineur, il vous faudra être accompagné par une personne majeure et de confiance.
3ème truc : La vaccination
Le 3ème c’est la vaccination. Il y a quelques-unes des IST qui peuvent être anticipées et évitées. Le papilloma virus, le HPV qui donnent tous deux des cancers de l’utérus. Dans certains pays, ils n’ont plus ce type de cancer grâce à des campagnes de vaccination. Elle est possible jusqu’à tes 19 ans mais le mieux reste entre les 11 et 14 ans. Il y a aussi l’hépatite B.
Merci à l'influenceuse et doctoresse Agathe Thierry DEFLOU pour la réalisation de ces posts (@aubergineetabricot sur Instagram). Merci à l'Association Régionale de Santé Normandie (ARS) pour le financement de cette campagne de communication.
